◊ Date de Naissance ; 11 aout 1961 ◊ Age ; 16 ans ◊ Année ; 6 ° ◊ Origine ; Sang pur ◊ Baguette Magique ; 31, 5 cm, papyrus, crins de sphinx. ◊ Patronus ; Une lionne. ◊ Epouvantard ; Anubis ◊ Animal de Comapgnie ; Un chat, Thot. ◊ Matière de Prélédiction ; Les sortilèges ◊ Matière Détestée ; Les potions ◊ Feat - Crédits ; until-tommorow-monsite
Son Histoire
Chapitre un : Egypte.
Comment aurais-je pu aimer l'Angleterre ? Ce pays que je voyais se dessiner dans mon imaginaire comme un amas flottant, humide et bouillonné par un brouillard opaque. Une île grise et verte, grouillante de ces gentlemens et ladys, obnubilés par les mariages de leurs princes et princesses, délaissant le monde, persuadés de valoir, par leur couronne, le double du restant humain. Ces Anglais, des êtres snobs et hautains qui avaient déposés dans mon esprit fécond des semences perfides à leurs égards. Je ne pouvais supporter d'eux que leur nature humaine, car comme mon peuple, ils étaient enfants de la création originale. S'ils se fourvoyaient, cependant, persuadés de descendre d'une certaine intervention paternelle ; un dieu, le père, le saint esprit et le fils, dans leurs croyances chretiennes, je pardonnais leurs pêchés en balayant du revers de la main, de par cette miséricorde me définissant. Pour moi, toute chose était sous le règne de Ré, le dieu faucon. J'étais Egyptien, né seize ans plus tôt, près du Caire. Et il était irréfutable que ma vision du monde, dès ma naissance, soit des plus parfaites. Mes parents n'avaient jamais côtoyés d'école magique, et avaient grandis avec leurs dons spécifiques sans jamais posséder de baguette. Ils avaient inculqués à mon éducation cette persuasion que tout était la cause des faveurs que nous offraient les dieux. Nous étions leurs créatures, et si nous leurs plaisions, dès la naissance, ils nous faisaient cadeaux de certaines bienséances. Que ce soit physique ou moral, chaque être humain se voyait attribué d'une unicité totale. Ma mère, en plus d'être « sorcière », comme l'auraient dit ces perfides Anglais, avait la beauté. Mon père possédait l'intelligence. Ma mère était égyptienne de sang, mon père ne l'était que de terre. Il possédait cette peau blanche et ces yeux clairs qui créait la discrimination. Cela ne l'empêcha aucunement de se faire respecter, puisqu'adoptant pleinement une mentalité égyptienne : il en devint littéralement un, de ce fait. Surtout avec la rencontre à ma mère. Ils se connurent près des pyramides, de ceux qui, autrefois, furent les souverains sacrés de l'Egypte ; les pharaons morts veillaient, et mes parents conclurent leur union sous les pyramides. Je naquis près du Nil, dans un climat habitué au sable et à la morsure du vent. Comme mon père, j'eus la peau blanche, les cheveux blonds et les yeux clairs. Mais rien dans ma tête ou aux yeux des autres ne me différenciaient de mes amis noirs, ou métis. Comme eux, nu, je courais sur le sable. Comme eux, moqueur, j'allais pisser près des dromadaires. Comme eux, nous suivîmes les voyages nomades ; comme eux, j'étais égyptien. On m'avait laissé entendre, dès que je fus en âge de raisonner, que j'étais un enfant-dieu. Un individu privilégié par les bontés des entités originelles. En effet, je faisais se déplacer des volutes de sable par ma simple volonté, ou effrayais les dromadaires en leur sifflant aux oreilles des mots qu'un humain n'aurait jamais du savoir prononcer. Personne ne s'inquiétait de mes talents ; au contraire, j'étais exhaustivement accompagné dans mes démarches magiques, et rien ni personne n'était plus amusé que mes petits camarades lorsqu'ils me voyaient jouer à sculpter le sable. Je ne connaissais, ni moi, ni mes parents, le terme de Moldu. Le fait que ni mon père ni ma mère ne possèdent de baguette joua certainement un rôle important ; le résultat est que jamais le Ministère ne nous contacta pour abus de magie. Nous n'étions pas des magiciens, dans notre tête, nous étions des humains comme les autres. Mais des humains qui avaient un certain talent. J'atteins rapidement l'âge de dix ans ; un moment de ma vie où je me prenais pour le roi du monde. Mes camarades, dont un petit Noir terriblement séducteur, m'avait fait relevé un défi, pour épater une jeune musulmane, inconnue à notre tribu ; je devais pénétrer une pyramide, et en ramener un souvenir. Je scellais rapidement mon destin en relevant l'épreuve ; avec une arrogance houleuse : le soir même, j'avais quitté la tente de mes parents pour plonger dans la nuit et courir vers la pyramide. Cette dernière, je l'ignorais, recouvraient les restes d'une célèbre oracle de Thot, le dieu du savoir, des sciences et des écrits. Pas effrayé pour un sou, particulièrement inconscient, je rejoignis mes camarades à l'entrée du lieu sacré, et plaçant ma main dans celle du petit Noir, jurait sur les seins d'Isis que je serais de retour avant trois heures, et que j'aurais rapporté une relique. Pénétrant dans le sanctuaire, je me livrais ainsi pour la première fois à la peur. La vraie peur ; celle qu'on ne connait pas et qui comme un cobra, venait se glisser doucement près de votre cheville. Pour d'un coup, fulgurant, vous abattre. Les intérieurs silencieux et oppressant des lieux ne m'effrayaient pas. Mais le miaulement lointain des rumeurs venteuses commençaient à faire monter en moi une étrange inquisition. Cela ne faisait que quelques minutes que je rasais les murs peints et sculptés, cherchant ce que je pouvais dérober, afin de prouver ma vaillance. Les minutes s'écoulaient, et bientôt, énervé par ce vent qui se jouait de moi, je me mis à courir, pour aller plus vite. J'étais bravache ; et pour effrayer les esprits, me mis à hurler dans ma langue gutturale, arabe. Il me sembla que pendant quelques minutes, le vent se tût, mais les trop importantes résonnances de mes pas claquaient à mes oreilles, m'assourdissant. La pyramide se faisait de plus en plus labyrinthique, et bientôt, je compris que j'étais perdu. Sans lumière, avec pour seul repère ces murs auxquels j'avais plaqué ma main ou mon épaule, j'avançais doucement, hésitant sur quoi faire. Mon errance aurait pu durer des heures, si soudain n'était pas apparu devant moi une jeune fille. Une terrible et belle jeune fille, qui poitrine nue, et cheveux tressés, me fixa étrangement. Tout aussi surpris, je me renfrognais, vexé qu'une fille ait pu aller aussi loin que moi. L'apostrophant, je quémandais des informations. - Qu'est-ce que tu fous là ? T'es perdue ? Elle avait une mine piteuse, et j'ôtais la colère de mes traits, décidant d'être plus doux avec elle. Elle avait l'air plus vieille de quelques années que moi, et avait une véritable beauté. Je remarquais qu'elle était habillée comme une princesse : une toge de lin blanc drapant ses reins, et ceint par une dorure ciselée. Ses pieds étaient chaussés par des sandales, sa poitrine révélée exhibait deux petits tétons habillés par un coquillage respectif, et doré, qui offrait à la vue de ses seins une vision tout à fait charmante. Je la trouvais belle, sur le coup. - Comment tu t'appelles ? - Pourquoi ? - Beh... je veux savoir. - Je ne te le dirais pas ! Tu es ici pour voler ? Je renfrognais mes lèvres en une moue exaspérée. Ces filles ! Toujours à chipoter là où il ne fallait pas. Elles étaient tellement nitouches ! - Et alors ? Ici, tout le monde est mort, de toutes façons, alors on s'en fout ! - Ce n'est pas vrai ! Thot est là. Je me récriais, soudainement apeuré. - Quoi ? Mais ! Je croyais qu'il était dans la vallée des rois ! Un dieu ne peut pas habiter ici ! C'est pas assez... - Quoi, pas assez luxueux ? C'est parce que tu ne sais pas regarder ! Le fille leva son bras, et aussitôt, des centaines de torches spectrales apparurent sur les murs. J'ouvrais des yeux stupéfaits, et la jeune fille explosa d'un rire moqueur, tandis que je découvrais la beauté des hiéroglyphes inscrits dans les murs. - Tu vois ? - Je suis désolé, je pensais que.. pardon... - Ce n'est pas grave, sourit la fille. Tu veux que je t'accompagne ? Tu es petit, et je ne veux pas que mon frère te mange pas erreur. - Ton frère ? M'étonnais-je, en lui emboitant aussitôt le pas. - Oui ! C'est un terrible affamé ; tout ce qui est inconnu, qui se dévoile à ses yeux, il le mange, et quand il le dévore, il en connait l'essence même. Il sait presque toutes les choses sur la terre. - Pourquoi ? - Parce qu'il est très intelligent. - J'aimerais pas avoir un frère aussi intelligent, marmonnais-je. La jeune fille eut un petit sourire, puis continua sans mot dire. Pendant quelques minutes, nous continuâmes notre voyage au travers des dédales colorés de la pyramide, puis la jeune fille me dévoila une porte magnifiquement sculptée. Elle la poussa, et pénétrant à l'intérieur, arrivait dans une salle au sol en pente. Au milieu, prônait un tombeau richement sculpté. J'ouvrais des yeux épouvantés. - Mais ! C'est une momie, là-dedans ? - Oui ! Celle d'une vieille femme. Tu veux l'ouvrir ? - On ne va pas me punir, si je fais cela, demandais-je, en tournant mes yeux clairs vers la jeune fille. - Oh non ! Pas si c'est moi qui te donne la permission. Vas-y ! Ouvre ! Je traversais la salle en enjambant des centaines de richesse disposées sur le sol, pour m'approcher de la défunte. Mes doigts se déposèrent sur le lourd couvercle, et prenant mon inspiration, je m'arc-boutais pour le déplacer. Rien n'y fit. La fille explosa de rire. - Oh non ! Ne l'ouvre pas comme ça, tu ne réussiras pas ! - Arrêtes de te moquer ! Tu m'as dit que je pouvais... - Je veux dire... pas avec tes mains. Essaie... avec ta tête. Je comprenais, surpris qu'elle sache que je possède des pouvoirs. Mais ne faisant aucun reproche sur cela, je visualisais mon objectif : le coulissement du couvercle, par un pivot régulier. L'action s'éxécuta dans des secondes qui me parurent infinies. Je regardais la boite s'ouvrir, et je regardais le cadavre desséché de l'ancienne oracle. Ne restait presque plus rien, mais ce visage ouvert sur une mâchoire hurlante, des doigts crochetés, m'effrayèrent. Je retins un cri, et la jeune fille s'approcha de moi. Ses doigts vinrent caresser le squelette hideux, et elle désigna une petite forme noire, à la place de l'utérus du squelette. Je plongeais mes doigts entre le bassin et les hanches, pour en ressortir une petite statue noire ; representant un chat, roulé en boule. Etudiant ma trouvaille, je me tournais vers la jeune fille ; et figé d'horreur, j'assistais soudain à un spectacle monstrueux : la poitrine juvénile se déchirait en deux mamelles énormes, fertiles, et le visage tendre s'était arraché, pour laisser place à une gueule de lionne. - Maintenant ; garde précieusement ! Et cours ! Sois ! Les Dieux d'Egypte n'aiment pas les voleurs. Mais pour ta faute, toi qui a violé le sanctuaire, tu seras châtié. Mais pas maintenant ! L'amour de la déesse de la guerre et de la destruction t'accompagne ! Vas, petit chat ! Sans réfléchir ; j'obeissais avec une terrible docilité. Prenant mes jambes à mon coup, je fuyais cette salle, tandis que les rugissements de la lionne résonnaient à mes oreilles. Un souffle lointain me masqua le « Je t'aime », prononcé faiblement aux milieu des cris félins. Le savais-je ? J'avais rencontré une des plus terribles déesses. Sekhmet. Et volé devant ses yeux. A moins qu'il ne s'agisse que d'un fantôme.
Chapitre deux : Angleterre.
Les souvenirs relatés, une fois hors de mes lèvres, explosèrent aux tympans de mes parents comme une folie dangereuse qui évéilla en eux une paranoïa impressionnante. En quelques jours, sans que je ne parvienne à comprendre ni comment ni pourquoi, nous avions pliés bagage, et l'Egypte devenait pour moi un endroit que je ne reverrais pas de sitôt. Dans l'avion, je quémandais des informations. Mes parents ne m'expliquèrent rien, préférant sagement retourner aux pays civilisés, loin des dieux païens, et des sables chauds. Je laissais derrière moi, pour avoir voulu obéir à une déesse, mon pays, mes amis, mes souvenirs. L'Angleterre me fut détestable dès le premier jour. Un pays GRIS. Totalement à l'opposé de mes villes, du Caire, des pyramides et des petits lézards se chauffant au soleil. N'y avait ici que les désolations d'une pluie parcheminant des pages déjà brouillée par l'encre de la pollution. Le Monde Moldu s'offrait à moi comme un lieu dangereux, où je ne devais pas exister en tant qu'individu magique, mais simplement en tant qu'individu physique; si possible, consommateur. Ne rien faire d'autre que d'obéir, aller à l'école, apprendre cette langue trop facile, et hideuse qu'était l'anglais. MAlgré tout mon dégout, s'ouvrait pourtant à moi un univers étrange que jamais je n'aurais soupçonné en Egypte. LEs Anglais n'étaient pas tous moldus. Je découvrais, grâce à un très ancien réseau d'amis de mon père, le monde sorcier. Je découvrais le Chemin de Traverse, je découvrais des enfants de mon âge qui piaillaient devant un magasin de Quidditch. Bientôt, toute ma haine se dissipa en une simple rancoeur. Pourtant, le souvenir de la jeune Hathor, se transformant en Sekhmet obnubilait mes nuits. J'avais conservé la statuette de chat, et chaque nuit, en étudiais les contours, avant de m'endormir. J'allais avoir onze ans, et la rentrée aurait lieu bientôt. Je craignais de voir passer les jours sans jamais recevoir de lettre. Plus l'impatience montait, plus mon angoisse faisait de moi un animal traqué par mes propres peurs, et je me réfugiais dans des pleurs qui se faisaient toujours plus violents. Je craquais, persuadé que Poudlard ne voudrait jamais de moi. La journée était maussade et grise, et je ne savais quoi faire. TRainant dans la bibliothèque, j'avais jeté dans un carton tous les livres me plaisant vaguement, et étais remonté dans ma chambre avec, dans l'espoir de me distraire. Assis sur un épais fauteuil de cuir vert, je jetais les livres au sol, les uns après les autres, dans une attitude profondément arrogante; chaque livre qui au final me paraissait ennuyeux filait se claquer contre le sol dans un bruit sonore. Soudain, mes yeux se stoppèrent sur le titre doré d'une enluminure inscrusté dans le cuir d'un livre sombre. "Alices adventures." Alice aux pays des merveilles, ce livre dont j'avais tellement entendu parlé, mais jamais je ne m'étais passionné, chutait enfin entre mes doigts, sans que j'ai à faire le moindre effort. Délaissant le carton, je m'installais, récupérant la statuette du chat, et comme à mon habitude, la plaçais sur mes genoux, pour pouvoir la caresser. J'ouvrais le livre.
~
'Well! I've often seen a cat without a grin,' thought Alice; 'but a grin without a cat! It's the most curious thing I ever saw in my life!'
Cette phrase, je la répétais à voix haute, me fit faire la chose la plus extraordinaire qui soi. J'aimais le personnage de Chess comme j'avais pu aimer Hanthor, et cela sembla se projeter hors de moi: comme une bulle. Une bulle d'amour et de magie la plus puissante que je puisse fournir, qui venant s'éclater sur la statuette, lui donna vie. Un chat prit place sur mes genoux, devint Thot, devint l'élément le plus important de ma vie, car à lui tout seul, parvint à être le pont entre l'Egypte de mon coeur et l'Angleterre de mes yeux. Je recevais la lettre de Poudlard. Je recevais mon identité. Je devenais Chess.
~
Les premières années à Poudlard s'écoulèrent doucement, je profitais; passionné, je m'acharnais aussi à être le meilleur dans certaines disciplines, telle que sortilège et DCFM, dédaignant royalement la potion, mais abusant de mes temps libres pour travailler les runes. J'étais studieux, mais pouvais aussi me montrer terriblement paresseux, quelques fois. Séducteur, je m'amusais parfois de mon charme légèrement loufoque pour laisser courir sur ma peau des caresses de mains plus âgées: je découvrais l'intérêt de l'amour, la manipulation de l'amour, les rires du sexe. Sans chercher à blesser, j'étais pourtant confondu dans ce masque souriant et moqueur, qui ne s'attachait à personne. J'étais Chess, invisible, insaississable. Mon unique but étant de retrouver la lionne, qui autrefois, m'avait guidé en travers la pyramide.
Ne dites pas dans quel maison va votre personnage dans l'histoire. On verra nous même laquelle vous correspond le mieux... surprise! Par contre, vous êtes libre de nous préciser en bas votre préférence
Et le Joueur ?
Déjà, le code: Code ok Ensuite, moi: Hum... je connais Pandore et Dunky, et Westley. Je suis quelqu'un d'assez paradoxal, qui peut facilement se montrer hautain, arrogant, presque condescendant. Je suis énervé et énervant, mais je sais faire des efforts pour me calmer si on me respecte en me demandant simplement et tranquillement de me calmer. Je respecte énormément les gens doués à l'écriture, les gens intelligents, les gens doux et patients, et les artistes. J'aime le chocolat, un peu trop, ça me vaut quelques kilos en trop (qui a dit "on s'en four?" Rires... Mm, j'aime le bleu, la bretagne, la mer et la forêt. Un de mes plus grands rêves est de pouvoir marcher seul un jour en Brocéliande, rien que moi et le vent. Je suis fana du Japon féodal, je ne suis pas à la mode, je déteste le rap et j'adore la musique qui reste. Je n'aime pas Justin Bieber, mais j'apprécie sa voix, j'aime écouter le groupe Tokio Hotel, j'aime Lady Gaga et la musique classique. J'écris une trilogie sur "la pierre philosophale,, les jumeaux, l'homosexualité, les enfants précoces, les victimes d'incestes, les mensonges, les suicides collectif, le régime hitlérien et les religions dans le monde". Ce petit mélange, ça fait trois ans que je suis dessus, et j'espère bien un jour le publier. Hum... j'ai les yeux verts. Voilàààà! .
Dernière édition par Lorcan Hatefull le Sam 10 Mar - 1:07, édité 5 fois
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Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Ven 9 Mar - 22:20
Oh, tout ce qu'on apprend sur toi *-* Bienvenue parmi nous et t'inquiète, on va te supporter nous (si west y arrive, il y a pas de raison )
Si tu as quoi que ce soit, hésite pas à contacter un membre du staff
Bon courage pour ta fiche et puis ensuite, amuse toi bien
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Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Ven 9 Mar - 23:18
Kya Lorcan. Kya. KYAAAAAAAAA
Ok, je ne m'emporterai pas trop, mais je trouve que ton début de présentation est sublime, comme tous tes écrits d'ailleurs. Je suis si content que tu te sois inscrit, il n'y a pas de mots qui puissent commencer à exprimer ma joie. Tu m'as manqué mais maintenant on se retrouve. Je pourrais continuer à écrire. Écrire un post sur toi. Mais je vais laisser les autres te découvrir pour la personne extraordinaire que tu es, et je vais arrêter de polluer ta fiche avec du sentimental.
Il y a tant de choses que j'ai à te dire, mais elles se résument en trois petits mots qui ne sont pas longs à lire: Je t'aime.
Bienvenue sur PI et amuse toi bien
Lorcan « Chess » Hatefull
▌Date d'inscription : 09/03/2012 ▌Nombre de Messages : 75 ▌Célébrité : Andrej Pejic ▌Crédits : don't know
▌Humeur : Féline.
Feuille de personnage Qui Suis Je ?:
Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Sam 10 Mar - 0:52
Finish~
édit: préférence de la maison: n'importe laquelle, sauf Poufsouffle.
Choixpeau Magique
▌Date d'inscription : 20/03/2011 ▌Nombre de Messages : 187
Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Sam 10 Mar - 1:32
Bienvenue petit Egyptien, Anglais à moitié ! Je me souviens de toi en première année, avide de montrer aux petits anglais qui tu es, toi qui vient de ce pays chaud..
Bienvenue à
Gryffondor
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Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Sam 10 Mar - 1:34
Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Sam 10 Mar - 8:57
bienvenueeeeeeee !!!
Moi je dis merci à West de nous ramener pareil membre *-*
J'adore ta fiche, super bien écrite ! Je me suis retrouvée en Egypte le tps de te lire *-*
En tout cas bon courage aussi pour ton projet d'écriture (j'écris aussi, je sais ce que c'est^^)
A bientôt en RP j'espère !
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Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Sam 10 Mar - 12:39
LORCAAAAAAAAAAAN !
*le bute, le résucite, le bute le résucite, le bute.. Le rebute, le rebute...*
BOUWAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Un lien ! Un lien ! Un lien ! *o*
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Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan Sam 10 Mar - 15:34
Wooooow, ta fiche est sublime, il nous faudra un lien *o* J'suis cracmol, si ça t'interesse !
Et dans la présentation de ta petite personne, j'avais pas compris que ton livre était sur tous les sujets, je croyais que tu aimais tout ça, alors bon les jumeaux, l'homosexualité, normal, puis les enfants précoces, ça commence à devenir chelou, et puis les victimes d'incestes, là je me suis dit "Zeus, aimer les enfants incestueux, ok, m'enfin on en rencontre pas tous les jours; et puis la fin c'est pire, je me suis dit "complètement fou !" les mensonges, les suicides collectif, le régime hitlérien et les religions dans le monde xD Bref, un beau projet !
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Sujet: Re: Hatefull Chess Lorcan
Hatefull Chess Lorcan
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